Runneuse depuis plusieurs années, avec plusieurs courses mythiques au compteur (Semi Marathon et Marathon de Paris, les 50km de l’Eco Trail, la Mona Lisa à Millau), j’ai choisi cette année de devenir Triathlète ! Oui, car ça se choisit de s’imposer un rythme d’entraînement plus soutenu, avec des sports différents.
Bref, après un test sommaire cet été : « tiens, si j’allais courir ce matin, en alternant avec du vélo, puis nager cet après midi ? » il m’a pris l’envie soudaine (et irréfléchie, disons le clairement) de m’inscrire au Club Yerrois de Triathlon, le CYT 91 !
Triathlon, késaco ?
Le triathlon, c’est un combiné de trois épreuves :
- La natation
- La couse à pied
- Le vélo
Vu d’ensemble, ça a l’air dur, limite insurmontable. Surtout quand on parle des courses mythiques de triathlon (exemple de L’Iron Man : 3,8km de natation /180,2km de vélo/42,195km de Course à pied).
Mais en fait, ce sont trois sports qui permettent d’enchaîner les épreuves et d’avoir moins mal que certaines courses de running. Bon, j’avoue que j’étais réticente au départ…

Le Triathlon, ça change quoi ?
Chaque semaine, trois entraînements au minimum : piscine, course à pied et vélo.
Au départ j’avais cette sensation de ne pas « faire de sport », à savoir ne pas avoir « mal ». Mais c’est justement ça le triathlon : la combinaison de sports complémentaires, qui permettent de progresser, se muscler tout en respectant le corps. Et pour preuve ; en un mois et demi d’entraînement, sans entraînement spécifique de course à pied, j’ai gagné 30 secondes sur un 10km début novembre.
Je me suis découvert une passion pour la natation, ce qui m’a étonné vu que je n’avais jamais nagé le crawl et que je ne me voyais pas plonger dans l’eau le soir ou l’hiver. Au contraire ! Je n’ai jamais aussi bien dormi après une bonne séance de natation et surtout, zéro courbature le lendemain.

La première sortie m’a valu ma première gamelle (à cause d’un automobiliste qui a trouvé intelligent de doubler en côte dans un virage) : Le danger ce sont les autres ! Ma deuxième gamelle a été à l’arrêt : je décale à gauche, je penche vers la droite, et boum ! Un grand classique. Là, pas de miracle : entraînements et sorties sont la clé de la réussite !
En revanche j’ai ralenti ma cadence en course à pied. Ce qui n’est pas plus mal vu que j’en avais marre de la piste et que je commençais à avoir mal aux genoux.En conclusion
En résumé, le triathlon, c’est SUPER : bon pour le corps, les articulations, le moral, la forme… et comme tout club, rencontrer des gens d’horizons différents avec qui on sympathise juste parce qu’on a une passion commune, ça c’est top !
Tel : 01 69 45 80 48
- De la runneuse à la triathlète - 16 novembre 2015
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